jeudi 30 juin 2016

Politique et éco N° 95 / spécial Pierre Jovanovic: Un monde de dettes ! (tvlibertés via news360)



1. Epargnants : sauve qui peut !
– Quand la presse économique découvre les dettes et la fragilité des banques !
– La ruine des épargnants pour en sortir ?
– Retraites par répartition, assurances –vie des menaces sérieuses.
– La loi Sapin 2 ou comment payer trois fois, comme client comme assuré et comme contribuable.
– La Société Générale comme Lehmann Brother, la Sogecap sa filiale assurance- vie en question.
– On ne tond pas un œuf, les banques allemandes arrivant dans les taux négatifs.
– La déflation comme l’hyper inflation : la ruine, l’interdiction du cash, la baisse des garanties bancaires, vers la disparition de la monnaie fiduciaire.
– La fin d’un modèle économique de civilisation issu de la Renaissance.
– Liberté égalité banqueroute !
– Quand l’INSSE démontre que l’impôt tue la croissance.
2. La France c’est la Grèce en plus gros !
– Menaces sur les taux, une remontée possible.
– La dissimulation des l’endettement par le pouvoir, il joue la montre jusqu’aux élections.
– Bilan depuis 2008 baisse des PIB mondial -30%
– Les caisses de retraites qui font faillite, USA les routiers, en Europe réduction de 30% à 60% sur certaines caisses.
– Licenciement de masse : Bank of América, Lufthansa ; délocalisation de la BNP au Portugal.
– chute du fret avion, bateau, route, un indicateur de crise.
– Et pendant ce temps là le sigle France disparaît des firmes .
– Une dimension politique de la crise, carence du pouvoir, le président flottant, Valls et Cazeneuve interdisent puis autorisent les manifestants à « jouer à la marelle » autour de la place de la nation.
– Même l’ENA en difficultés financière. Les énarques responsables de la dette.
– Un régime à bout de souffle qui humilie le peuple français, Verdun, le grand remplacement linguistique, remplacement du latin et du grec par l’Arabe.
– Cherche désespérément un homme politique européen à fort charisme (évocation de Nigel Farrage)
Conclusion :
Après l’euro de foot, Roland Garros, les vacances : de septembre à décembre quatre mois à haut risque pour le pouvoir.